De profundis (Magyar)
Meglehet, könyörgőre fogom még egyszer, előregörnyedve némiképp, mint tettette amott a fa, oldalra dőlve félig és hanyatt vetődve, évre év, az ég tudja, miféle halott súlyok alatt. Formánkat állva miért ne vághatnánk egyszer az életben magunk is a földhöz magunkat. Egy árva szó nélkül, mint akit egy üres darabba estefelé még beugrattak. Mert végigaludtuk a napot, nyakunkon bár a bukóablak. |
De profundis (Francia)
M'en vais-je encore un coup, profil bas,
Supplier un peu dans telle pose
D'arbre au tronc à moitié chu là-bas,
Qui feint de ne pas faire autre chose,
Et d'année en année s'abat ?
De quels poids morts est-il sous la coupe ?
Le ciel le sait. Nos formes, debout
Une fois dans la vie, pourquoi
Ne pas les couper* pour qu'on se coupe
Du sol aussi nous ? Nous restés cois
Comme en une pièce en blanc tel, parce
Qu'encore au soir dindon de la farce,
Qui tout le jour endormi, bien qu'où
La fenêtre retombe, a son cou.
*synonyme de débrancher.
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