Marno János: IV. ANNA (IV. ANNA Francia nyelven)
IV. ANNA (Magyar)tehát hasonlatos egy úthengerhez, formája és súlya szerint egyaránt, saját útját járva mindamellett, mely saját út a rejtekútja is a világ szeme elől egyben. Alagút, indulástól a végbemenetelig, ha föl nem sérti magát menetközben, belsőleg akár; s akkor közszemlére jut, habár saját helyen, Rembrandt-képpen, a fényforrás szerint. S persze témája tekintetében, mely a tudományra vall már, azt tekintve teremtőjének.
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IV. ANNA (Francia)
que par son poids, est la copie conforme, suit sa propre voie en solo néanmoins, à la fois propre voie et aussi chemin caché loin du regard du monde, un tunnel où cela commence et finit, et duquel voyage en l'air si, si possible, en sort, indemne, sa chair, elle connaît alors la visite*, étant bien selon la source de la lumière à sa place sur un Rembrandt, et bien sûr vu son thème déjà montrant la science* à voir comme ses premiers parents.
visite) auquel, au premier temps du christianisme ainsi que durant tout le Moyen Âge et encore à la fin du XVIIIe siècle, les filles et religieuses accusées d'impudicité étaient soumises à la demande des tribunaux ecclésiastiques ou officialités et, au terme duquel, étaient ou non actés par des experts la « scandaleuse » intromission et son corollaire: l'accroc à leur robe d'innocence; lequel fut pratiqué également lors des procès en dissolution de mariage et lors de ceux pour recel de grossesse ou enfin ceux pour recherche de paternité. Une de ses extensions fut l'institution du congrès, abolie le 18 février 1677, dont l'objet des débats furent les ébats, actes carnaux, triste dénouement de procès en impuissance « honteux pour les femmes, ridicules pour les maris, indignes des juges » (Voltaire). *Science : diérèse.
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